Kenza Farah est une artiste accomplie qui n'a jamais renié ses origines kabyles.
Grande star de la scène RnB française, elle a vendu plus de 500 000 disques au cours de sa longue carrière.
• À lire aussi: La kabylophilie du rappeur Lacrim
Elle a rempli des salles de concert, en plus de se produire à l’étranger.
Ses fans se comptent par centaines de milliers sur Instagram...
Et certains d'entre eux s'interrogent publiquement sur sa "kabylité" présumée.
Kenza Farah une belle kabyle talentueuse ! pic.twitter.com/830EeilOI4
— sabrinabeauty (@theluxurystyke) December 8, 2013
Née le 8 juillet 1986, dans la wilaya kabyle de Béjaïa ("ⴱⴳⴰⵢⴻⵜ" en tifinagh), en Algérie, Farah Kenza Maouche a grandi dans les quartiers nord de Marseille.
Et c'est dans la cité phocéenne qu'elle a pris goût à la musique avec des concours de chant.
• À lire aussi: Les racines berbères d'Idriss Jamil Aberkane
Fière de ses origines berbères, il lui arrive souvent de revenir sur la terre de ses ancêtres pour revoir sa famille.
(© Capture d’écran | Chaîne de KarismatikClick sur YouTube)
En mai 2011, une équipe de tournage de KarismatikClick est partie avec elle pour visiter les paysages de son enfance.
Elle les avait emmené dans l'immeuble où elle était née 25 ans auparavant, sans oublier de leur présenter sa petite famille kabyle.
Contrairement à certains artiste célèbres, elle n'a pas oublié d'où elle vient.
Probablement "kabylophone" - et certainement "kabylophile" - elle fait la fierté de sa wilaya natale en tant qu'ambassadrice médiatique.
Si elle souhaite soutenir encore davantage l’identité kabyle sur le net, elle peut signer la pétition ci-dessous qui milite pour l'apparition d'un #EmojiKabyle sur nos claviers d'iPhone.
