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Rose Ameziane dénonce l'instrumentalisation médiatique des femmes kabyles

Appréciée de la kabylosphère, Rose Ameziane est une chroniqueuse qui sait monter au créneau lorsque une injustice est commise.

Luttant constamment contre les discriminations, elle n’hésite pas à croiser le fer avec les ambassadeurs de la droitosphère.

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Nombreux sont les islamo-ras-le-bolistes, à l'instar du Zemmourophile Garen Shnorhokian, qui en ont fait les frais lors des émissions animées par Jean-Marc Morandini.

Ce dernier est même devenu, au fil du temps, son compagnon de route politico-médiatique.

"Grande Gueule" décomplexée, son "jeu de jambes" rhétorique est désormais redouté au sein de la sulfureuse crypto-patriosphère pro-Zemmourienne.

Nul ne souhaite vraiment se retrouver en face d'elle sur le "tatami" des plateaux de débat.

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Et encore moins dans la faune des réseaux sociaux où elle sait dénoncer habilement certains comportements orduriers.

Or, le journal Marianne, notoirement connu pour être de gauche, s'est récemment retrouvé dans le viseur "amezianesque" pour avoir publié une photographie mettant en scène des femmes kabyles afin d'illustrer le bruit dans les transports en commun français.

Réduisant ainsi cette nuisance sonore aux "youyous" des Imazighen...

Malheureusement, les propos kabylophobes sont encore très répandus au sein de la société française.

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Certains sont même devenus des "Monsieur Jourdain" de la kabylophobie, blessant cette communauté sans vraiment le conscientiser.

On espère donc que Rose Ameziane continuera de défendre médiatiquement les Kabyles de France et de Navarre.

Pour l'anecdote, le prénom du fils de Ferhat Mehenni, le fondateur du MAK (Mouvement d'Autodétermination de la Kabylie), est identique à son nom de famille.

Il est donc temps que cette cause légitime trouve un écho plus retentissant sur la scène politique afin de mettre un terme aux "kabylocides" commis en toute impunité.

On ignore, pour le moment, si la Présidente de l'Association Mouv'Territoires est Makiste ou non, mais son combat contre les comportements discriminatoires est indispensable pour faire reculer la berbèrophobie.

On ne peut donc que saluer ses prises de position anti-berbèrophobes.


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